Jacqueline Gourault

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Jacqueline Gourault
Illustration.
Jacqueline Gourault en juillet 2017.
Fonctions
Membre du Conseil constitutionnel français
En fonction depuis le
(2 ans, 1 mois et 27 jours)
Président Laurent Fabius
Prédécesseur Nicole Maestracci
Ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales

(3 ans, 4 mois et 17 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Jean Castex
Gouvernement Philippe II
Castex
Prédécesseur Jacques Mézard (Cohésion des territoires)
Successeur Joël Giraud
Ministre auprès du ministre d'État,
ministre de l'Intérieur

(1 an, 3 mois et 25 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Ministre Gérard Collomb
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Laurent Nuñez (secrétaire d’État)
Vice-présidente du Sénat

(2 ans, 8 mois et 13 jours)
Élection
Président Gérard Larcher
Présidente de la délégation sénatoriale aux Collectivités territoriales et à la Décentralisation

(2 ans, 10 mois et 29 jours)
Prédécesseur Claude Belot
Successeur Jean-Marie Bockel
Première vice-présidente de l'Association des maires de France

(4 ans et 9 jours)
Prédécesseur Jacques Pélissard
Successeur André Laignel
Sénatrice française

(1 mois)
Réélection 24 septembre 2017
Circonscription Loir-et-Cher
Successeur Jean-Paul Prince

(15 ans, 9 mois et 21 jours)
Élection 23 septembre 2001
Réélection 25 septembre 2011
Circonscription Loir-et-Cher
Groupe politique UDI-UC
Présidente de la communauté d'agglomération de Blois-Agglopolys

(4 ans et 11 jours)
Prédécesseur Collectivité créée
Successeur Nicolas Perruchot
Conseillère générale de Loir-et-Cher

(3 ans, 9 mois et 9 jours)
Élection 22 mars 1998
Circonscription Canton de Blois-1
Prédécesseur Yves Genet
Successeur Marie-Hélène Millet
Conseillère régionale du Centre

(9 ans et 1 jour)
Élection 22 mars 1992
Circonscription Loir-et-Cher
Successeur Jean-Luc Schnoering
Maire de La Chaussée-Saint-Victor

(25 ans et 10 jours)
Prédécesseur Danièle Charron
Successeur Stéphane Baudu
Biographie
Nom de naissance Jacqueline Doliveux
Date de naissance (73 ans)
Lieu de naissance Montoire-sur-le-Loir (France)
Nationalité Française
Parti politique UDF puis MoDem
Profession Professeure d'Histoire-Géographie

Signature de
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Jacqueline Gourault, née le à Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher), est une femme politique française.

Sénatrice de 2001 à 2017 et vice-présidente du Sénat de 2014 à 2017, elle est nommée ministre auprès du ministre d'État, ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, en 2017. Issue de l'UDF, elle est également vice-présidente du Mouvement démocrate (MoDem) chargée de la formation et des élus. En 2018, elle est nommée ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. Elle est nommée au Conseil constitutionnel par le président Emmanuel Macron en 2022.

Origines et profession

Née Jacqueline Doliveux, elle est la fille de Martial Doliveux, un marchand de bestiaux de Montoire-sur-le-Loir, et de son épouse Madeleine, travaillant avec lui. Son époux, Gérard Gourault, a repris l'élevage de chevaux de son père[1],[2].

Elle est professeure d'histoire-géographie, entre autres, au lycée Sainte-Marie de Blois.

Parcours politique

Élue du Loir-et-Cher

Elle s'engage en politique en 1974, lors de la campagne présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing[2]. Élue conseillère municipale en 1983, elle est maire de La Chaussée-Saint-Victor de 1989 à 2014.

C'est en 1993, lors des élections législatives, que Jacqueline Gourault émerge sur la scène politique départementale en menant campagne contre Jack Lang, alors maire de Blois. Celui-ci est réélu avec 51,5 % des voix, mais elle parvient à faire annuler son élection par le Conseil constitutionnel, qui le condamne, en outre, à un an d'inéligibilité[3]. Lors de l'élection partielle de 1994, le candidat socialiste, Michel Fromet, suppléant de Jack Lang en 1993, est élu avec 59,7 % des voix[4]. En 1997, elle se présente de nouveau aux élections législatives et est défaite (46,8 %) face à Jack Lang[5].

En 1998, elle est une des rares élues de Loir-et-Cher à refuser toute alliance avec le Front national au conseil régional. Elle mène campagne pour Nicolas Perruchot (UDF), qui ravit la ville de Blois au PS lors des élections municipales de 2001.

Lors des élections régionales de 2004, elle est la tête de liste de l'UDF en région Centre. Sa liste arrive en quatrième position au niveau régional au premier tour, avec 13,7 % des voix[6]. Elle fusionne au second tour avec la liste de l'UMP.

En , elle est élue conseillère municipale à La Chaussée Saint-Victor sur la liste conduite par Stéphane Baudu. Elle est également conseillère communautaire de la Communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys ».

Sénatrice

En 2001, elle est élue au premier tour sénatrice dans le Loir-et-Cher. Elle est réélue sénatrice, également au premier tour, lors des élections sénatoriales de 2011. Elle est élue vice-présidente du Sénat en 2014[7].

Jacqueline Gourault s'oppose à la loi de 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe[8].

Dirigeante centriste

Après le départ de nombreux responsables centristes en 2002 pour l'UMP, Jacqueline Gourault reste fidèle à François Bayrou. Elle est membre du bureau exécutif de l’UDF en tant que vice-présidente exécutive. Contrairement à la plupart des parlementaires UDF qui se rallient à Nicolas Sarkozy lors du second tour de l'élection présidentielle de 2007, Jacqueline Gourault ne donne pas de consigne de vote. Elle fait partie de l'équipe dirigeante du Mouvement démocrate, créé le . Présidente de la fédération MoDem de Loir-et-Cher, elle ne se représente pas à cette fonction lors des élections internes de 2008.

Elle soutient Alain Juppé pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[9] puis parraine Emmanuel Macron à l'élection présidentielle de 2017.

Ministre sous la présidence d'Emmanuel Macron

Jacqueline Gourault en 2018.

Elle est nommée ministre auprès du ministre d'État, ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, le , dans le deuxième gouvernement d'Édouard Philippe. Cette nomination intervient grâce à François Bayrou, selon ses propres dires[10],[11]. Elle dispose d'un cabinet composé de huit personnes[12]. Elle partage l'ensemble des attributions de son ministre de tutelle[13]. Contexte indique qu'« auprès de Gérard Collomb, à la fibre plus sécuritaire, elle incarne la voix des territoires au gouvernement. Concrètement, elle reçoit chaque semaine des associations d’élus, se déplace auprès des maires, traite le dossier Corse quasiment en direct avec le Premier ministre »[14].

En , lors des élections sénatoriales, elle est réélue sénatrice. Restant au gouvernement, elle n'exerce pas ce mandat[15], puisqu'elle occupe déjà des fonctions gouvernementales.

Le , le Premier ministre, Édouard Philippe, lui confie la fonction informelle de suivi du « dossier corse », à la suite de la victoire des nationalistes aux élections territoriales de 2017[16]. Elle utilise l'expression de « prisonniers politiques » pour désigner des détenus de droit commun[17],[18]. Les négociations restent bloquées[19].

Le , le Premier ministre lui confie la mission d'ouvrir le dialogue entre les élus locaux du Haut et Bas-Rhin afin d'organiser la fusion de ces deux départements dans une « collectivité européenne » d’Alsace[20],[21] en suite du rapport du préfet Jean-Luc Marx.

Le , elle est nommée ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, succédant à Jacques Mézard[22].

En juillet 2021, le Sénat adopte en première lecture son projet de loi 3DS (initialement 4D)[23]. Si son objectif initial était de « donner du souffle à notre démocratie », son manque d'ambition a été critiqué initialement par les sénateurs, parmi lesquels Françoise Gatel[24]. Le texte regroupe des mesures variées telles que la création d'un « contrat de mixité sociale » dans le cadre de la pérennisation de la loi SRU, d'un droit de véto aux maires pour l'installation d'éoliennes, le renforcement des pouvoirs du département pour le versement du RSA et des présidents des conseils régionaux sur l'ARS qui deviendraient co-présidents du conseil d'administration[24],[23],[25].

Membre du Conseil constitutionnel

En février 2022, Emmanuel Macron propose de nommer Jacqueline Gourault au Conseil constitutionnel[26]. Cette proposition fait polémique sur les bancs de l'opposition de droite, car contrairement à l'usage, Jacqueline Gourault n'est ni juriste, ni publiciste[27]. Pour le souligner, lors de son audition à l’Assemblée nationale, Guillaume Larrivé présente des questions pointues. À l'inverse, Philippe Bas (ancien président de la commission des Lois du Sénat), a précisé que « le Conseil constitutionnel n’a pas seulement besoin de juristes, mais aussi des personnalités qui connaissent la société française »[27].

Cette nomination est validée par le Parlement le 23 février 2022 par 41 voix pour, 31 voix contre et 4 abstentions (29 voix pour et 15 voix contre pour les députés, 12 voix pour et 16 voix contre pour les sénateurs)[27]. Elle prête serment le 8 mars 2022[28].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

  • 2017-2018 : ministre auprès du ministre d'État, ministre de l'Intérieur.
  • 2018-2022 : ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales.

Au Sénat

  • 2001-2017 : sénatrice, élue dans le Loir-et-Cher.
  • 2014-2017 : vice-présidente du Sénat.

Au niveau local

Autres fonctions

Notes et références

  1. Éric Hacquemand, « Jacqueline Gourault : "Le cheval, une tradition familiale" », Paris Match, semaine du 26 juillet au 1er août 2018, p. 32.
  2. a et b « Jacqueline Gourault, une ministre née à Montoire », actu.fr/, 2 juillet 2017.
  3. Décision no 93-1328/1487 AN du 9 décembre 1993 du Conseil constitutionnel
  4. « Résultats des élections législatives partielles à Blois », sur L’Humanité, (consulté le )
  5. « Résultats des élections législatives partielles de 1997 », sur data.gouv.fr, (consulté le )
  6. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2004 », sur interieur.gouv.fr.
  7. « Jacqueline Gourrault élue à la vice-présidence du Sénat : ses nouvelles missions », sur jgourault.fr, .
  8. Mathieu Dejean, « Quand la nouvelle ministre Jacqueline Gourault votait contre le mariage pour tous », lesinrocks.com, 22 juin 2017.
  9. Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
  10. « Jacqueline Gourault au gouvernement : une très proche de Bayrou chargée des collectivités », sur Public Sénat, .
  11. Décret no 2017-1146 du 10 juillet 2017 relatif aux attributions de la ministre auprès du ministre d'État, ministre de l'intérieur.
  12. Ministère de l'Intérieur, « Cabinet de la ministre auprès », sur interieur.gouv.fr.
  13. Dominique Albertini, « Jacqueline Gourault, «agent traitant» de l’exécutif auprès des élus », sur liberation.fr, (consulté le ).
  14. Samuel Le Goff, Simon Prigent, Diane de Fortanier et Hortense Goulard, « Les attributions informelles des secrétaires d’État « sans attribution », sur contexte.com, (consulté le ).
  15. « Fiche de Jacqueline Gourault », sur senat.fr.
  16. Le Monde, « Jacqueline Gourault nommée « Madame Corse » du gouvernement», lemonde.fr, 12 décembre 2017.
  17. « Quand la ministre chargée du dossier corse Jacqueline Gourault évoque des "prisonniers politiques" », sur France Info, .
  18. « Jacqueline Gourault, Madame Corse du gouvernement, gaffe en parlant de "prisonniers politiques" », sur Le HuffPost, .
  19. « Les députés rejettent un statut d'autonomie pour la Corse », sur Europe 1, .
  20. Le Huffingtonpost, « Jacqueline Gourault, la "Madame Corse" du gouvernement devient la "Madame Alsace"», www.huffingtonpost.fr, 3 août 2018.
  21. « Collectivité européenne d'Alsace : loi, décret ... "si l'ensemble ne convient pas, nous ne l'accepterons pas" (F. Bierry) », DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
  22. « Jacqueline Gourault, une centriste à la cohésion des territoires », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  23. a et b « Transports, logement, emploi, santé... Ce que prévoit le projet de loi sur la décentralisation », sur Boursorama, (consulté le )
  24. a et b « Projet de loi décentralisation: le Sénat va adopter un texte enrichi », sur LEFIGARO (consulté le )
  25. « Décentralisation : transports, logement social, RSA… les principales mesures du projet de loi », sur SudOuest.fr (consulté le )
  26. AFP, « Emmanuel Macron propose de nommer Jacqueline Gourault au Conseil constitutionnel », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. a b et c « Conseil constitutionnel : la nomination de Jacqueline Gourault validée contre l’avis du Sénat », sur Public Senat, (consulté le )
  28. Agenda du président de la République sur le site Elysee.fr

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Jacqueline Gourault, sur Wikimedia Commons

Articles connexes

Liens externes

  • Ressources relatives à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
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v · m
Membres actuels du Conseil constitutionnel français
Président
Membres actuels
Membres à vie
Liste des membres du Conseil constitutionnel français depuis 1958
v · m
Gouvernement Édouard Philippe II () jusqu'au remaniement du 16 octobre 2018
Sous la présidence d'Emmanuel Macron
Intérieur
Gérard Collomb, ministre d'État (dém) (3) puis par intérim Édouard Philippe (3)
Ministre : Jacqueline Gourault

Édouard Philippe
Premier ministre
Transition écologique et solidaire
Nicolas Hulot, ministre d'État (dém) (2) puis François de Rugy, ministre d'État (2)
Ministre chargée des Transports : Élisabeth Borne
Secrétaire d'État : Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État : Brune Poirson
Justice, garde des sceaux Nicole Belloubet
Europe et Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre chargée des Affaires européennes : Nathalie Loiseau
Secrétaire d'État : Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État : Geneviève Darrieussecq
Cohésion des territoires
Jacques Mézard
Secrétaire d'État : Julien Denormandie
Solidarités et Santé Agnès Buzyn
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État : Benjamin Griveaux puis Delphine Gény-Stephann (1)
Culture Françoise Nyssen
Travail Muriel Pénicaud
Éducation nationale Jean-Michel Blanquer
Agriculture et Alimentation Stéphane Travert
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État (1) : Olivier Dussopt (1)
Enseignement supérieur, Recherche et Innovation Frédérique Vidal
Outre-Mer Annick Girardin
Sports Laura Flessel puis Roxana Maracineanu (2)
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement : Christophe Castaner, porte-parole du Gouvernement jusqu'au  (1)
Secrétaire d'État (1) : Benjamin Griveaux, porte-parole du Gouvernement à partir du  (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes : Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des personnes handicapées : Sophie Cluzel
Secrétaire d'État chargé du Numérique : Mounir Mahjoubi
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••
v · m
Gouvernement Édouard Philippe II () après le remaniement du
Sous la présidence d'Emmanuel Macron
Transition écologique et solidaire
François de Rugy, ministre d'État (dém), puis Élisabeth Borne
Ministre puis secrétaire d'État chargé des Transports : Élisabeth Borne, puis Jean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État : Brune Poirson
Secrétaire d'État : Emmanuelle Wargon

Édouard Philippe
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Nicole Belloubet
Europe et Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre puis secrétaire d'État chargée des Affaires européennes : Nathalie Loiseau (dém), puis Amélie de Montchalin
Secrétaire d'État : Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État : Geneviève Darrieussecq
Solidarités et Santé
Agnès Buzyn(dém), puis Olivier Véran
Haut-commissaire aux Retraites : Jean-Paul Delevoye (dém)
Secrétaire d'État chargé des Retraites : Laurent Pietraszewski
Secrétaire d'État : Christelle Dubos
Secrétaire d'État : Adrien Taquet
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics) : Mounir Mahjoubi (dém), puis Cédric O
Secrétaire d'État : Agnès Pannier-Runacher
Travail
Muriel Pénicaud
Secrétaire d'État chargé de la Protection de la santé des salariés contre l'épidémie de Covid-19 : Laurent Pietraszewski
Éducation nationale et Jeunesse
Jean-Michel Blanquer
Secrétaire d'État : Gabriel Attal
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès du ministre de l'Économie et des Finances) : Mounir Mahjoubi (dém), puis Cédric O
Secrétaire d'État : Olivier Dussopt
Intérieur
Christophe Castaner
Secrétaire d'État : Laurent Nuñez
Enseignement supérieur, Recherche et Innovation Frédérique Vidal
Cohésion des territoires et Relations
avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre chargé des Collectivités territoriales : Sébastien Lecornu
Ministre chargé de la Ville et du Logement : Julien Denormandie
Outre-Mer Annick Girardin
Culture Franck Riester
Agriculture et Alimentation Didier Guillaume
Sports Roxana Maracineanu
Ministre et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement : Marc Fesneau
Secrétaire d'État : Benjamin Griveaux, Sibeth Ndiaye, porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations : Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées : Sophie Cluzel
Ordonnancement par ordre de préséance
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( CASTEX)
v · m
Gouvernement Jean Castex ()
Sous la présidence d’Emmanuel Macron
Europe et Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité : Franck Riester
Secrétaire d'État chargé du Tourisme, des Français de l'étranger et de la Francophonie : Jean-Baptiste Lemoyne
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes : Clément Beaune



Jean Castex
Premier ministre
Transition écologique
Barbara Pompili
Ministre déléguée chargée du Logement : Emmanuelle Wargon
Ministre délégué chargé des Transports : Jean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité : Bérangère Abba
Éducation nationale, Jeunesse et Sports
Jean-Michel Blanquer
Ministre déléguée chargée des Sports : Roxana Maracineanu
Secrétaire d'État chargée de l'Éducation prioritaire : Nathalie Élimas
Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de l'Engagement : Sarah El Haïry
Économie, Finances et Relance
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé des Comptes publics : Olivier Dussopt
Ministre déléguée chargée de l'Industrie : Agnès Pannier-Runacher
Ministre délégué chargé des Petites et moyennes entreprises : Alain Griset
Secrétaire d'État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques : Cédric O (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable : Olivia Grégoire
Armées
Florence Parly
Ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants : Geneviève Darrieussecq
Intérieur
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargée de la Citoyenneté : Marlène Schiappa
Travail, Emploi et Insertion
Élisabeth Borne
Ministre déléguée chargée de l'Insertion : Brigitte Klinkert
Secrétaire d'État chargé des Retraites et de la Santé au travail : Laurent Pietraszewski
Outre-mer Sébastien Lecornu
Cohésion des territoires et Relations avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre déléguée chargée de la Ville : Nadia Hai
Secrétaire d'État chargé de la Ruralité : Joël Giraud
Justice, garde des sceaux Éric Dupond-Moretti
Culture Roselyne Bachelot
Solidarités et Santé
Olivier Véran
Ministre déléguée chargée de l'Autonomie : Brigitte Bourguignon
Secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles : Adrien Taquet
Mer Annick Girardin
Enseignement supérieur, Recherche et Innovation Frédérique Vidal
Agriculture et Alimentation Julien Denormandie
Transformation et Fonction publiques Amélie de Montchalin
Ministres délégués et secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne : Marc Fesneau
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances : Élisabeth Moreno
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées : Sophie Cluzel
Secrétaire d'État, porte-parole du gouvernement : Gabriel Attal
(← PHILIPPE II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( BORNE)
v · m
Mouvement démocrate (MoDem)
Président François Bayrou (depuis 2007)
Vice-présidents
  • Jacqueline Gourault (ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales)
  • Nathalie Griesbeck (députée européenne)
  • Jean-Marie Vanlerenberghe (sénateur)
  • Marc Fesneau (ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne)
  • Geneviève Darrieussecq (ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants)
Secrétaire général
Autres personnalités
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