Louis Armez
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Louis Armez | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (27 ans, 10 mois et 6 jours) | |
Élection | 22 septembre 1889 |
Réélection | 20 août 1893 22 mai 1898 11 mai 1902 6 mai 1906 24 avril 1910 26 avril 1914 |
Circonscription | Côtes-du-Nord |
Législature | Ve, VIe, VIIe, VIIIe, Xe et XIe (Troisième République) |
Groupe politique | Union démocratique (1889-1910) Gauche radicale (1910-1917) |
– (9 ans et 8 mois) | |
Élection | 5 mars 1876 |
Réélection | 14 octobre 1877 21 août 1881 |
Circonscription | Côtes-du-Nord |
Législature | Ire, IIe et IIIe (Troisième République) |
Groupe politique | Centre gauche |
Président du Conseil général des Côtes-du-Nord | |
– (7 ans) | |
Prédécesseur | Henri-Alexandre de Lorgeril |
Successeur | Charles Baudet |
– (4 ans) | |
Prédécesseur | Louis Le Provost de Launay |
Successeur | Albert Jacquemin |
Maire de Plourivo | |
– (46 ans) | |
Prédécesseur | François Prigent |
Successeur | Charles Armez du Ruclé |
Conseiller général des Côtes-du-Nord | |
– (47 ans) | |
Circonscription | Canton de Paimpol |
Prédécesseur | Jean-Baptiste Veillet-Dufrèche |
Successeur | siège vacant |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ancien 11e arrondissement de Paris |
Date de décès | (à 79 ans) |
Lieu de décès | Plourivo |
Résidence | Côtes-du-Nord |
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Louis Armez, né le à Paris, décédé le à Plourivo est un homme politique français.
Il est maire de Plourivo en 1871, conseiller général de Paimpol et député des Côtes-du-Nord de 1876 à 1885[Note 1] et de 1889 à 1917.
Biographie
Louis Armez est membre de la commission des douanes et de la commission de la marine durant de nombreuses années et il défend les intérêts des gens de mer et du personnel de la marine marchande[1]. Lors de la crise du 16 mai 1877, il est l'un des 363 députés[2] qui s'opposent au gouvernement de Broglie.
Famille
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Ce paragraphe présente Nicolas Armez à la fois comme le grand-père et le grand-oncle. Vous pouvez y remédier.
Louis Armez est le fils de Charles Louis Marie Armez (1799 - 1882), maire de Plourivo. Il est le petit-fils de Louis Marie Armez (1756 - 1843) qui occupa les mêmes fonctions. Son arrière grand-père était Jean Armez (1704 - 1803), riche négociant et armateur de Paimpol. Il était le père de Robert Armez (1875-1927), diplomate et de André Armez (1886-1963).
Son grand oncle fut Nicolas Armez, révolutionnaire célèbre qui fut le premier préfet des Côtes-du-Nord dont il définit les limites et qui aurait acquis la tête momifiée de Richelieu. Louis Armez rapportait parfois cette tête à Paris pour la montrer à ses collègues de l'Assemblée Nationale[3].
Hommages
Plusieurs villes de Bretagne ont donné son nom à une rue, on peut citer notamment Plourivo, Paimpol, Saint-Brieuc, Vannes[1].
Notes et références
Notes
- ↑ Il fut déclaré battu lors des élections législatives du par le candidat de droite Jean Garnier-Bodéléac, mais l'élection de celui-ci fut invalidée et Louis Armez retrouva son siège de député lors de l'élection du .
Références
Voir aussi
Sources et bibliographie
- « Louis Armez », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
- Emmanuel Salmon-Legagneur (dir.) et al. (préf. Yvon Bourges, anc. ministre, prés. du conseil régional de Bretagne), Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne : 1 000 noms pour les rues de Bretagne, Spézet, Coop Breizh et Institut culturel de Bretagne, , 446 p. (ISBN 978-2-84346-032-6), p. 32Notice de Jean Gourhand
Liens externes
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