Anthony Ashley-Cooper (1er comte de Shaftesbury)
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Lord président du Conseil | |
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John Robartes, 1er comte de Radnor | |
Lord-lieutenant du Dorset | |
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Président de la Commission du Commerce | |
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John Egerton | |
Lord chancelier | |
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Orlando Bridgeman Heneage Finch | |
Chancelier de l'Échiquier | |
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Edward Hyde John Duncombe | |
Membre du Parlement de la Convention Wiltshire (d) | |
Membre du Parlement d'Angleterre (1653) Wiltshire (d) | |
Membre du deuxième Parlement du Protectorat Wiltshire (d) | |
Membre du troisième Parlement du Protectorat Wiltshire (d) | |
Membre du premier Parlement du Protectorat Wiltshire (d) | |
Membre du parlement d'Angleterre d'avril 1640 Tewkesbury (d) | |
Membre du Parlement d'Angleterre |
Comte de Shaftesbury | |
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à partir du |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | Church of St Giles, Wimborne St Giles (en) |
Nom de naissance | Anthony Ashley Cooper |
Formation | |
Activités | |
Père | John Cooper (en) |
Mère | Anne Ashley (d) |
Fratrie | George Cooper (en) |
Conjoints | Margaret Coventry (d) (à partir de ) Lady Frances Cecil (d) (à partir de ) Margaret Spencer (d) (à partir de ) |
Enfants | Anthony Ashley-Cooper Cecil Ashley-Cooper (d) |
Parti politique | Parti whig |
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Membre de | |
Lieu de détention |
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Anthony Ashley-Cooper (, Wimborne St Giles (Dorset) – , Amsterdam) tient un rôle politique important pendant le Commonwealth et la Restauration. Il est l'un des fondateurs du parti Whig (en anglais : Whig Party) et est connu pour avoir employé le philosophe John Locke.
Rallié à Cromwell, il est membre du Conseil d'État (Council of State) mais démissionne en 1655 pour protester contre les tendances dictatoriales du régime. À la Restauration, il est Chancelier de l'Échiquier dans le gouvernement Clarendon, puis lord chancelier dans le « Ministère de la cabale ». Il tombe en disgrâce en 1673 et est emprisonné à la Tour de Londres de 1677 à 1678[réf. nécessaire]. Pour certains historiens il serait compromis dans le pseudo-complot papiste dénoncé par Titus Oates[1].
Soutenant le duc de Monmouth, il fut accusé de haute trahison et choisit de s'exiler aux Provinces-Unies en 1681.
Notes et références
- ↑ Michel Duchein, Les Derniers Stuart, Fayard 2006, p.182
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