Michel Biem Tong

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Tong (homonymie).

Michel Biem Tong
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Activité
JournalisteVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Michel Biem Tong est un journaliste, chroniqueur[1] camerounais, rédacteur en chef à Hurinews[2] et en exil au Burkina Faso[3] puis en Norvège.

Biographie

Enfance, éducation et débuts

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Carrière

Journaliste

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Arrestation et incarcération

Vidéo externe
https://www.youtube.com/watch?v=OYBSLRRVnNo

MICHEL BIEM TONG, LE RÉCIT de sa SÉQUESTRATION au Cameroun et de son EXIL en NORVÈGE (JMTV+)•20 déc. 2020 JMTVPLUS

Samedi le , peu après les élections présidentielles et 2 jours avant la proclamation des résultats, il est appelé et interpellé par le colonel Émile Joël Bamkoui[4]. Il est accusé de collision avec les séparatistes anglophones du Cameroun.

Il se rend au rendez vous le au ministère de la défense en compagnie d'un membre de la Mandela Center à Yaoundé[5]. Il se fait entendre par les services du secrétariat d'état à la défense (SED) et est accusé d'avoir diffusé un enregistrement qui tend à unifier les différentes tendances du mouvement de sécession[6]. Il est accusé d'apologie de terrorisme par un adjudant du service.

Après avoir été entendu par Raymond-Serge Kaolé Aléokol, chef de service central des recherches judiciaires (SCRJ), il est incarcéré les tard le soir[7]. Il est entendu par un enquêteur le lendemain le et est auditionné l'après midi sur ses sources, ses liens supposés avec les indépendances.

Il est transféré à la prison centrale de Kondengui[8].

Passé en jugement le , il est soudainement et devant des caméras de télévision[9]. Il lui est interdit d'exercer la profession de journaliste au Cameroun par le tribunal militaire de Yaoundé.

Exil

Burkina-Faso

Norbert Zongo étant un modèle pour Michel Biem Tong, il envisage l'exile pour le Burkina-Faso. Il arrive au Burkina le . Il y poursuit son métier de journaliste.

Un an avant le massacre de Kumba, il publie un article accusateur sur les autorités de Yaoundé.

Norvège

À la suite de menaces, il quitte le Burkina le pour la Norvège où il s'établit comme réfugié.

Voir aussi

Articles connexes

Notes et références

  1. « Columnist Michel Biem Tong », sur www.camerounweb.com (consulté le )
  2. « Cameroun : libération de Michel Biem Tong », sur Fédération internationale pour les droits humains (consulté le )
  3. « Liberté d'expression : Le journaliste camerounais Michel Biem Tong demande la protection des autorités burkinabè - leFaso.net », sur lefaso.net (consulté le )
  4. « Michel Biem Tong : « L’otage » du Sed ? – -**Le Quotidien Le Jour**- » (consulté le )
  5. « Michel Biem Tong, journaliste indépendant, risque la peine de mort pour son activisme | ACAT France », sur www.acatfrance.fr (consulté le )
  6. « Libération du journaliste Michel Biem Tong | ACAT France », sur www.acatfrance.fr (consulté le )
  7. « Au Cameroun, un journaliste écroué pour « apologie du terrorisme » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. recevez nos alertes infos, « Cameroun: Le journaliste Michel Biem Tong écroué à la prison de Kondengui pour outrage au Chef de l’Etat et apologie du terrorisme. », sur Actu Cameroun, (consulté le )
  9. « Michel Biem Tong: «Je salue l'acte du Chef de l'État » », sur Cameroon Radio Television, (consulté le )
  • icône décorative Portail du Cameroun