Le Chambon-Feugerolles

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Le Chambon-Feugerolles
Le Chambon-Feugerolles
Vue générale du Chambon-Feugerolles.
Blason de Le Chambon-Feugerolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Étienne Métropole
Maire
Mandat
David Fara
2020-2026
Code postal 42500
Code commune 42044
Démographie
Gentilé Chambonnaires[1]
Population
municipale
12 066 hab. (2021 en diminution de 4,66 % par rapport à 2015)
Densité 689 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 49″ nord, 4° 19′ 33″ est
Altitude 496 m
Min. 464 m
Max. 849 m
Superficie 17,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://lechambon.fr
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Le Chambon-Feugerolles est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

La commune située à 11 km de Saint-Étienne[2], se trouve sur l'axe de communication reliant l’Auvergne à Rhône-Alpes. La ville est située au cœur de la vallée de l’Ondaine[3].

Communes limitrophes

Hydrographie

Le Chambon-Feugerolles est traversé par la rivière Ondaine et de quelques-uns de ses affluents (le Cotatay, le Valchérie, le Malval, l'Echapre et le Borde-Matin).

Géologie

La superficie de la commune est de 17,51 km2 ; son altitude varie de 464 à 849 mètres[4].

Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

Voies de communication et transports

La commune est desservie par trois lignes de la STAS (Société de l'agglomération stéphanoise) pour le compte de Saint-Étienne Métropole, la gare TER (tarification STAS+TER avec un pass Oùrà) desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes et par deux lignes du réseau Cars Région Haute-Loire :

La ligne de TER Firminy / Saint-Étienne-Châteaucreux permet de rejoindre en 10 minutes les lignes T1 et T3 du tramway de Saint-Étienne à Bellevue ou en 4 minutes le centre de Firminy. L'accès au TER + réseau STAS est permis grâce aux pass Oùra. Circulant tous les jours, l'offre est importante. La gare du Chambon-Feugerolles est desservie en semaine par (24 trains dans le sens Saint-Étienne et Lyon de h 12 à 19 h 42 et par 26 trains) dans le sens Firminy et Le Puy-en-Velay de h 50 à 22 h 19.

Enfin, deux lignes du réseau Cars Région Haute-Loire desservent la commune :

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat d'Auvergne-Rhône-Alpes et Climat de la Loire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 793,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ETIENNE (42) - alt : 640m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E
Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,5 5,8 9,1 13,1 14,7 14,2 11 8,3 4,2 1,1 7
Température moyenne (°C) 3 3,4 7,1 10,8 14,1 18,6 20,5 19,9 16,1 12,2 7,4 4,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 5,9 6,9 11,6 15,8 19,1 24 26,3 25,6 21,3 16,2 10,6 7,1 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
13.01.03
−15,6
05.02.12
−16,5
01.03.05
−4,5
08.04.21
0,1
06.05.10
4,4
02.06.06
7,4
10.07.07
7,4
31.08.06
2,1
27.09.10
−5
26.10.03
−8,7
28.11.13
−11,1
26.12.10
−16,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
10.01.15
20,9
23.02.20
24
30.03.21
27,8
22.04.18
32
13.05.15
36,8
27.06.19
39
07.07.15
38,6
24.08.23
33,5
05.09.23
29,9
02.10.23
23,1
02.11.20
18,3
05.12.06
39
2015
Précipitations (mm) 41,8 38,7 39,7 62,7 83,7 80,6 78,7 79,4 65,1 81 87,1 55,4 793,9
Source : « Fiche 42218011 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Le Chambon-Feugerolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[14] et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (41,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,2 %), prairies (22,8 %), zones urbanisées (20,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

La cité de la Romière-Bouchet, excentrée et séparée du reste de la ville par la RN 88, est considérée comme le quartier avec le plus de difficultés sociales de la vallée de l'Ondaine. Il est classé quartier prioritaire et fait l'objet d'un programme Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).

Projets d'aménagement

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Toponymie

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Chambon : Cambo en gaulois signifiant « courbe », méandre de la rivière, le toponyme peut désigner par extension une « étroite bande de terre ».

Feugerolles évoque les fougères[20],[21],[22] ; ce toponyme entre abusivement en résonance avec la famille d'Ogerolles/d'Augerolles (issu du latin Algirolis), maison ancienne selon La Mure[23], active en Forez et Roannais, mais qui n'a jamais possédé Feugerolles (seulement Roche aux XVe – XVIe siècles, l'héritière Françoise d'Augerolles de Roche-la-Molière épousant Alexandre Capponi de Feugerolles en 1586).

Histoire

Article détaillé : Jarez.

Origines et âge d'or

Le puits du Marais.

Au Moyen Âge, le bourg existait, dominé par le seigneur de Feugerolles qui avait le privilège de la justice et de l’administration. Il comptait, comme de nombreux villages, quelques forgerons et fabricants d’arbalètes.

La permutation de 1173 entre le comte de Forez et l'Église de Lyon indique que quiconque aura le château de Feugerolles devra hommage lige et fidélité au comte[24].

L'église Saint-Clément du Chambon apparaît en 1183 dans les possessions de l’abbaye de l’Île Barbe[25] et la cure de la paroisse était à la nomination de celle de Firminy dépendant du même monastère.

Nous donnons ci-après le schéma de la succession des sires de Feugerolles[22],[26], particulièrement les Lavieu aux XIIIe – XVe siècles.

Les seigneurs de Feugerolles

Au XIIe siècle, la seigneurie éminente relève de la famille de Jarez, qui médiatise ainsi la suzeraineté comtale[27] ; cette grande famille assume aussi Saint-Priest et Saint-Chamond ; mais à partir de 1173, le comte exerce directement la seigneurie dominante, devenue donc immédiate. Puis, du XIIIe au XVe siècle, la seigneurie directe de Feugerolles appartient, dans la mouvance comtale, à la noble famille forézienne de Lavieu (sans rapport avec Lavieu), qui, notamment, possède aussi Roche-la-Molière[28]. La nécropole des Lavieu de Feugerolles est à Valbenoîte. L'historien Édouard Perroy donne comme probables — mais non certains — les débuts de la généalogie seigneuriale chambonnaire[29],[30] :

  • Guillaume de Lavieu (cité en 1224 ; probablement un fils cadet de Jocerand (III) de Lavieu d'Yzeron et Pizay) a pour fils :
    • l'abbé Jocerand/Josserand (abbé d'Ainay en 1251-1299) ; et - Hugues (Ier) de Lavieu (fl. 1265 et † en 1296), aussi possesseur de Marclopt et Chalain, marié à Miracle de Malmont/de Maumont ; Hugues et dès avant lui son père Guillaume (fl. 1224), sont dits de Feugerolles ou de Fougerolles) ; Hugues engendre :
      • possiblement Artaude (abbesse de la Séauve en 1313-1325), et très certainement Bérard (prieur de St-Romain en 1299, † 1324) ; Alice/Ahélida († av. 1325 ; mariée av. 1290 à François Malemouche, dit de Malmont du chef de sa femme : Parents de Bérarde-Miracle de Malmont, femme de Hodinet de Chantois) ;
      • et - Jocerand/Josserand (Ier) de Lavieu-Feugerolles (cité en 1286, † v. 1309/1311 ; il possède les châteaux de Feugerolles, Chalain, Marclopt, ainsi que Pizay et Vaudragon, et il épousa 1° Alice Raynier de Chagnon, puis 2° Aigline de Chalencon, † 1332). Jocerand (Ier) est suivi de ses fils, ci-après :
  • Hugues (II) de Lavieu [du 1° ; cité à partir de 1303, sire de Chagnon et de Pizay, puis d'Ecotay par échange en 1324 avec la famille comtale contre Pizay et Vaudragon ; en fâcherie avec sa demi-fratrie jusqu'à la réconciliation de 1324 : son demi-frère Perceval le fait enlever et maltraiter, mais le comte Jean met lourdement à l'amende le ravisseur ; † 1335 ; mari d'Ansillette et père de Jean Galeys/Gallois d'Ecotay, † ap. 1357 sans postérité] ; - Jocerand/Josserand (II) Perceval de Lavieu-Feugerolles [du 2° ; né v. 1300, † en 1361 de la peste avec sa femme Raimbaude de Tournel : sans enfant survivant ; sire de Feugerolles et de Chalain, alors que le comte se saisit de Marclopt en 1325 ; perclus de dettes, il est à la merci du comte Jean, des créanciers et des Lombards de Montbrison] ; et - Bertrand de Lavieu-Feugerolles [du 2° ; † 1363 ; sire d'Ecotay, puis de Feugerolles et de Chalain en 1361 après son frère Jocerand Perceval ; époux d'Agnès de Cournon, dame de Cournon, du Sandre, de Pérignat et de Chantois sur Bully, † nonagénaire en 1405] ; Perceval et Bertrand ont pour sœurs Aigline la Brune (x v. 1324 Jean de Marcilly de La Ferrière), et les nonnes Agnès, Amphelise et Isabelle de Lavieu.
  • Bertrand de Lavieu et sa femme Agnès de Cournon sont suivis de leurs enfants :
    • Perceval (prieur de Bard, puis en 1405 de Confolent sur Beauzac) ; les deux frères hospitaliers ou religieux Briand Trolhard et Bertrand de Lavieu ; Palamède de Lavieu ; Roland de Lavieu († ap. 1415 ; chevalier, sire de Cournon et de Chantois en 1405) ; ainsi que leurs sœurs Guicharde (x 1351 Hugues de Lanay), et Aigline de Lavieu (x 1373 Hugues de Pierregourde : d'où la succession de Cournon et du Cendre) ; et leur frère aîné :
    • - Jocerand/Josserand (III) de Lavieu-Feugerolles : il meurt en 1374/1375, trente ans avant sa mère et bien quarante ans avant sa femme ; sgr. de Feugerolles ; marié en 1372 à Alice/Alix de Beaujeu [† v. 1415/1418 ; fille de Guichard de Beaujeu de Perreux et Marguerite de Poitiers, sœur du sire Edouard II de Beaujeu, dame en douaire d'Ecotay et Chalain, elle apporte en dot à son mari Jocerand 3 000 francs d'or ; remariée en 1381 à Etienne de Sancerre de Vailly, † 1390, puis en 1392 à Guy IV de Damas de Couzan, elle fut trois fois veuve].
  • Le fils de Jocerand (III) et d'Alix de Beaujeu, - Edouard de Lavieu-Feugerolles [né v. 1372, † 1415 ; le plus brillant des Lavieu de Feugerolles, il marie en 1404 Marguerite-Dauphine de Combronde-St-Ilpize (des dauphins d'Auvergne) : par sa mère et sa femme, il est un parent de la comtesse de Forez et héritière de Beaujeu, Anne-Dauphine d'Auvergne ; sire de Feugerolles, de Chalain, d'Ecotay, et pour moitié - en héritage des Rochefort - seigneur des terre et château de Rochefort (Saint-Laurent-Rochefort, Saint-Didier-sur-Rochefort), aussi de Poleymieu en Lyonnais], fut suivi par ses propres fils :
  • - Jacques de Lavieu [† v. 1459 ; sire de Feugerolles, de Chalain, et de la moitié de Poleymieu (qu'il cède aux Jossard), héritier de St-Laurent en 1422, et acquéreur de Curraize ; x 1° Jeanne Cassinel (d'une famille d'origine italienne installée en France, fille de Raoul Cassinel et Marguerite de Luxembourg : cf. Racines&Histoire : Cassinel, p. 4, et veuve de Robert de Laire de Cornillon), et 2° Antoinette Bastet de Crussol de Cornillon] ; et Jean de Lavieu († av. 1478 ; frère puîné de Jacques ; sire d'Ecotay - avec Quérézieux - et de la moitié de Rochefort ; il est le dernier des Lavieu-Feugerolles, et laissa deux bâtards : Georges et Jacques de Feugerolles) ; Jacques et Jean étaient frères d'Anne († ap. 1480 ; x 1432 Jacques de Chabannes-La Palice) ; d'Alix (x 1422 Annet Ier de Talaru de Chalmazel : Sans postérité) ; et de Marguerite de Lavieu, dame de Chantois (x 1435 Guillaume de Rollat).
  • Jacques de Lavieu-Feugerolles et 1° Jeanne Cassinel ont pour filles : Arthuse (x 1446 Jean de Montmorin) ; et Louise de Lavieu [elle teste en 1494, et † ap. 1504 ; dame de Rochefort pour moitié, et d'Ecotay ; x 1458 Annet (II) de Talaru-Chalmazel : d'où Annet (III) (marié en 1493 à Louise, fille de Jean de Lévis-Couzan ci-dessous ; † av. 1500), et son frère cadet Gaspard de Talaru qui fera la succession des Talaru de Chalmazel] ;
  • Jacques de Lavieu et 2° Antoinette de Crussol laissèrent : - Marie († v. 1470 ; dame héritière de Feugerolles, Chalain et Curraise ; x Jean Ier de Lévis-Couzan de Lugny (il teste en juillet 1494), remarié veuf à Jeanne de Bressolles ci-après) ; et - Charles de Lavieu, sire de Feugerolles, Chalain et Curraise [† v. 1469 ; x 1463 Jeanne/Louise de Bressol(l)es/de Brézolles, fille du sénéchal de Bourbonnais Antoine de Bressolles et de Catherine de St-Germain d'Apchon : d'où un enfant posthume, qui meurt très vite ; veuve, Louise de Bressolles se remaria audit Jean Ier de Lévis, avec postérité : Jean II de Lévis].
  • Vers 1469/1470, la succession de - Marie de Lavieu et de son frère - Charles de Lavieu pour Feugerolles, Chalain et Curraize, passe successivement aux deux fils de Marie de Lavieu et de Jean Ier de Lévis-Couzan : - Guillaume de Lévis († enfant), puis - Gabriel de Lévis († le 12 octobre 1535), baron de Couzan, Grand-bailli du Forez, sans postérité de sa femme, épousée en (1497 ou 1525/1526 ?), Anne de Joyeuse. Gabriel lègue Feugerolles, Chalain et Curraize à son demi-frère - Christophe de Lévis († ap. 1537), chanoine-comte de Lyon, fils de Jean Ier de Lévis et Louise de Bressolles, dont l'héritier est son neveu - Claude de Lévis, baron de Couzan et de Lugny, fils de Jean II de Lévis de Lugny († le 18 octobre 1533 ; Jean II était le fils aîné des enfants de Jean Ier de Lévis et Louise de Bressolles, et il avait marié Jeanne, fille de Guillaume de Polignac de Rochebaron).
  • Mais Claude de Lévis-Couzan († v. 1586/1589), fils de Jean II et petit-fils donc de Jean Ier de Lévis-Couzan et de sa 2e épouse Louise de Bressol(l)es, chevalier de St-Michel, vendit la baronnie de Feugerolles, d'abord à - Jean Camus de Baignols (le 9 avril 1567, pour 20 000 livres ; suivi de son fils - Anthoine Camus, conseiller du roi, trésorier de France en la généralité de Lyon), puis, l'ayant récupérée, à - Alexandre Capponi (le 26 juin 1586, juste après le mariage de ce dernier le 17 mars 1586 avec Françoise d'Augerolles, dame de Roche-la-Molière en tant que descendante en lignée féminine des Lavieu de Roche-la-Molière). Alexandre (de) Capponi d'Ambérieux-en-Dombes (v. 1559-1601) était le fils de Laurent Capponi et d'Hélène de Gadagne, sœur de Guillaume de Gadagne.
  • La terre de Feugerolles est désormais aux mains des Capponi de Feugerolles, suivis des Charpin de Feugerolles dans la 2e moitié du XVIIe siècle : Gaspard (de) Capponi (1596-1675), fils aîné d'Alexandre Capponi et Françoise d'Augerolles, baron de Roche-la-Molière et de Feugerolles, seigneur du Chambon, de St-Romain, Jonzieux, aussi de St-Just et St-Genest en partie etc., page à la cour d'Henri IV, gentilhomme de la Chambre de Louis XIII, chevalier de St-Michel, maréchal de camp, épouse 1° 1623 Isabeau [† 1645 ; fille de Renaud de Cremeaux et cousine issue de germain de Claude de Cremeaux, sgr. de Chamousset et St-Symphorien, époux d'Isabelle de Balsac, dame d'Entra(i)gues] : d'où 6 garçons et 6 filles, et 2° 1647 Madeleine du Peloux, veuve de Balthazar de Clermont-Montoison : d'où 7 enfants dont l'héritière Catherine-Angélique (de) Capponi de Feugerolles († le 22 décembre 1686), qui maria en janvier 1676 Pierre-Hector de Charpin († le 5 avril 1713), comte de Souzy et de la Forest-des-Halles. Catherine-Angélique et Pierre-Hector vendirent Roche-la-Molière en décembre 1683 ; Pierre-Hector de Charpin de Souzy était le cousin germain maternel du maréchal de Villars ; les descendants de Pierre-Hector et Catherine-Angélique Capponi seront appelés comtes ou marquis de Feugerolles ou comtes de Charpin :
  • Louis-Hector de Charpin de Feugerolles († le 3 juin 1744), dernier fils des précédents, chevalier de St-Louis, marié en 1722 à Marie-Polixène, fille de Christophe de Riverie de La Rivière. Leur fils aîné succéda : Jean-Baptiste-Michel de Charpin de Feugerolles († le 16 février 1792), dernier seigneur-baron de Feugerolles, comte de Souzy et marquis de La Rivière, x 1753 Anne-Marie Anselmet († le 25 septembre 1801), dame des Brun(e)aux et de Saint-Just-en-Feugerolles (la part de St-Just qui relevait de Feugerolles) (le 15 février 1775, le couple acquit le reste de St-Just sur François-Jean-Jacques Grimod Bénéon de Riverie de Cornillon).
  • Postérité et succession des domaine et château de Feugerolles par leur fils Louis-Alexandre-Jérôme de Charpin de Feugerolles († le 12 septembre 1801), sauvé sous la Révolution des mains de Claude Javogues le 2 janvier 1794 par l'affection populaire et la saisie de son argenterie, marié en 1777 à Suzanne († le 8 septembre 1803), fille de Camille-Alix-Eléonor-Marie d'Albon-Saint-Forgeux d'Yvetot...
  • La famille de Boysson tient de nos jours le domaine de Feugerolles car Agnès de Charpin de Feugerolles épouse en mars 1973 Henri de Boysson[31].
 

Au XVIe siècle, l’activité de la coutellerie se développe.

La métallurgie apparaît dans la seconde moitié du XIXe siècle avec l’installation des usines Crozet-Fourneyron[32], Claudinon, Chambert[33], puis pendant la Première Guerre mondiale celle de Froges-et-Camargue[34] qui produisait des aciers spéciaux[35],[36]. Les fabrications étaient assez variées : limes, pièces forgées ou moulées, éléments pour l’armement, outils… En 1880, la ville recensait 480 métallurgistes (772 en 1912), environ 1 000 ouvriers de forge et 900 pour la taille des limes.

Au XIXe siècle, Le Chambon-Feugerolles était le chef-lieu du canton de la vallée de l’Ondaine et donc le siège des fonctionnaires (juges de paix, greffiers, notaires, percepteur…).

À cette époque, le cadre de vie était plutôt médiocre du fait d’une forte activité industrielle. Il s’améliora sous l’impulsion de la municipalité de Pétrus Faure, à qui les Chambonnaires renouvelèrent leur confiance de 1925 à 1971 (sauf pendant la guerre).

Le Chambon-Feugerolles est né de la fusion de deux communes en 1832.

En 1843, la commune cède une partie du territoire lors de la création de la commune voisine de La Ricamarie.

Histoire récente

Le [37], une importante crue de l'Ondaine et des petits rus qui descendent du plateau du Bessy au nord de l'Ondaine, provoquée par d'importants orages, a inondé une partie de la ville du Chambon-Feugerolles et provoqué de nombreux dégâts mais aucune victime[38]. Malgré le caractère rapide de la crue (environ une demi-heure), l'eau est montée jusqu'à 1,7 m dans certaines habitations. Les services météorologiques avaient pourtant émis une alerte aux orages pouvant être localement forts.

En 2008, un incendie ravage le gymnase Guy-et-Alain, l'un des principaux lieux sportifs de la commune depuis 1980[39].

Entreprises notables

La forge Blaise Frères, créée en 1885, fabrique des lames pour l'escrime sportive de haut niveau.

Politique et administration

Liste des maires

L'hôtel de ville, place Jean-Jaurès.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Antoine Thevenon    
1947 1971 Pétrus Faure SFIO puis PS  
Mars 1971 mars 1983 Jean Moulin PS  
Mars 1983 1988 André Cognet UDF  
Mai 1988 Mai 2020 Jean-François Barnier UDF puis SE
puis UDI
Vice-président du conseil départemental de la Loire
Vice-président de Saint-Étienne Métropole
Président de l'Association des Maires de la Loire
2020 En cours David Fara[40] DVD Secrétaire général de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne

Tendances politiques et résultats

Autres résultats : Élections au Chambon-Feugerolles.

Jumelages

Démographie

Les habitants sont appelés les Chambonnaires.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 12 066 habitants[Note 4], en diminution de 4,66 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1801 2451 2341 4261 6004 0134 0283 6743 868
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 3075 5146 9546 7728 3148 1608 5329 0169 915
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11 52812 01112 71413 51614 78915 10614 80215 65317 695
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
20 32021 98720 09118 14916 07014 09012 77612 49612 486
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 - - - - - - - -
12 066--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Clément.
Le château de Feugerolles.
La Forge, ancienne usine reconvertie en salle de spectacle.
  • L'église Saint-Clément du Chambon-Feugerolles du XIXe siècle (terminée en 1851)[44], d'un style néo-classique.
  • Église du Bon-Pasteur de la Romière.
  • Église du Christ-Roi de Gaffard.
  • Église Notre-Dame de Cotatay.
  • Le château de Feugerolles, monument d'architecture militaire et civile des XIVe et XVe siècles.
  • La Vierge du Chambon-Feugerolles ou Notre-Dame de Poix, dite « La Madone » (1870 ; cf. Balade sur la colline de Poix avec Clément, mai 2015, par aandredanyel, et Lieux de culte, par la Société d'Histoire du Chambon-Feugerolles).
  • Salle de spectacles La Forge.
  • Espace culturel Albert-Camus.
  • La vallée et Notre-Dame de Cotatay[45].
  • Le puits du Marais.

Espaces verts et fleurissement

En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[46].

Personnalités liées à la commune

  • James Jackson (1771-1829), originaire de Lancaster, fonde à Trablaine en 1815 une usine qui produit pour la première fois en France de l'acier fondu.
  • Hippolyte de Souzy de Charpin-Feugerolles (1816-1894), homme politique mort à Feugerolles.
  • Michel Rondet (1841-1908), syndicaliste, né au Chambon-Feugerolles.
  • Marcellin Souhet (1845-1925), homme politique et négociant en grains et farines, né au Chambon-Feugerolles.
  • Georges Claudinon (1849-1930), député, ingénieur, maire du Chambon-Feugerolles où il est mort.
  • Jean Boudoint (1860-1943), homme politique et avocat né au Chambon-Feugerolles.
  • Pétrus Faure (1891-1985), député, maire du Chambon-Feugerolles où il est mort.
  • Benoît Frachon, syndicaliste né au Chambon en 1893.

Héraldique

Armoiries du Chambon-Feugerolles[47] :
D’azur à l’engrenage d’or posé sous la bande aux attributs de mine, boulonnerie et limes posés au-dessus de la bande, à la bande de gueules brochant, chargée de trois abeilles d’argent, au chef de vair qu’est Lavieu¹, à la couronne murale de quatre tours.

¹ Le château de Feugerolles est vendu en 1260 à Hugues de Lavieu.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Le Chambon-Feugerolles et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. « Les habitants de l’Ondaine fuient les grandes communes », sur leprogres.fr (consulté le ).
  4. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Le Chambon-Feugerolles et Saint-Étienne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Toponymes évoquant la "fougère", p. 1240-1243 », sur Toponymie générale de la France, vol. II, par Ernest Nègre, chez Droz, à genève, 1991.
  21. « D'où vient le nom des villes et villages de la Loire », sur Département de la Loire.
  22. a et b « Le château de Feugerolles, p. 337-460, dont Toponymie p. 337-338, et Généalogies seigneuriales, p. 390-460 », sur Etudes historiques sur le Forez : Chronique des châteaux et des abbayes, vol. I, par Jean-Antoine de La Tour de Varan, chez Montagny, à Saint-Etienne, 1856.
  23. J.-M. de la Mure, Histoire des Ducs de Bourbon et des Comtes de Forez, Volume 2. p. 14. Lire en ligne
  24. "Mais quiconque aura le château de Saint-Priest, ou de Rochetaillée, ou le Château-Roche, ou de Fougerolles, ou de Grangent, doit hommage lige & fidélité au Comte". Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 http://museedudiocesedelyon.com/MUSEEduDIOCESEdeLYONlettrepapepermutation1174.htm
  25. Masures de l'Ile-Barbe, Tome 1, p. 65. Lire en ligne
  26. « Seigneurie de Feugerolles : les blasons des familles seigneuriales »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ChambonHistorique.
  27. Par exemple Guichard de Jarez, cité en 1173 alors que Feugerolles était déjà alors un château important. Le blason des Jarez arbore un Parti d'azur et d'argent, à la fasce de gueules brochant sur le parti
  28. voir des précisions et des sources indexées aux articles Roche-la-Molière et Château de Roche-la-Molière
  29. Édouard Perroy, Les Familles nobles du Forez, t. Ier, p. 431-447
  30. « Lavieu, p. 416-457, notamment p. 417, 436 et 446 », sur Les familles nobles du Forez, t. Ier, par Edouard Perroy, Centre d'Etudes foréziennes (à St-Etienne), et la Diana (à Montbrison), 1976.
  31. cf. Geneanet : arbre de Gilles Lecomte
  32. cf. les sites Ateliers Crozet-Fourneyron et Emile Crozet-Fourneyron
  33. cf. Les Aciéries électriques du Chambon, p. 69-71, par Denis Varaschin, 1998 ; et la Société d'Histoire du Chambon-Feugerolles, p. 54, 2000 : « En 1877, la famille Chambert créa une petite aciérie la Sauvanière. Elle procédait au laminage de barres en acier L'usine possédait une annexe dans la vallée de Cotatay où se trouvaient des martinets pour l'étirage des lames »
  34. cf. Péchiney, p. 160, 164, par Monique Périères, Revue de Géographie Alpine, 1955)
  35. « LA MÉTALLURGIE (1) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur chambonhistorique.e-monsite.com (consulté le ).
  36. « Acier, et acier spécial : Définitions », sur Dictionnaire du BTP, aux Editions Eyrolles.
  37. « Re-directed to here », sur forez-info.com (consulté le ).
  38. Dépêche AFP sur le site de France 3 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).(attention, une erreur dans la source France3 : l'Ondaine n'a aucun affluent qui porte le nom d'Ecotay mais un affluent du nom de Cotatay[réf. nécessaire])
  39. cf. Complexe sportif Guy-et-Alain et Gymnase Guy-et-Alain
  40. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Le Chambon-Feugerolles : l’église Saint-Clément et la place Claudinon-Giraudet », sur leprogres.fr (consulté le ).
  45. cf. sur le site diocésain : Notre-Dame de Cotatay
  46. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  47. blason

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Le Chambon-Feugerolles, sur Wikimedia Commons

Article connexe

Bibliographie

  • La Société d'Histoire du Chambon-Feugerolles, Le Chambon-Feugerolles, collection « Mémoire en images », éditions Alan Sutton (Grande-Bretagne), 2000.

Liens externes

  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
  • Le Chambon-Feugerolles sur le site de l'Institut géographique national

  • Ressources relatives à la géographieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Insee (communes)
    • Ldh/EHESS/Cassini
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