Hocine Djoudi
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Membre du Conseil de la Nation |
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Naissance | Souk Ahras |
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Décès | |
Nationalité | |
Activité | Diplomate |
Enfant | Karim Djoudi |
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Hocine Djoudi, né le à Souk-Ahras, mort le dans le 18e arrondissement de Paris[1],[2] est un juriste et diplomate algérien.
Biographie
Titulaire d'une licence en droit de l'université de Montpellier (France) en 1957, après avoir servi à l'ambassade d'Algérie à Londres de 1963 à 1964 et à la mission algérienne auprès de l'ONU à New York de 1964 à 1968, il est nommé conseiller auprès du ministre des affaires étrangères de 1968 à 1978. Ambassadeur d'Algérie en Espagne à partir de 1979, il a été également représentant permanent de l'Algérie auprès de l’ONU de 1984 à 1990 puis secrétaire général du ministère des affaires étrangères de 1990 à 1993. Après avoir été ambassadeur d'Algérie à Paris de 1993 à 1997, il devient sénateur dans le tiers présidentiel et vice-président de la commission des affaires étrangères au conseil de la nation, le sénat algérien.
En 1998, Hocine Djoudi a fait partie du groupe d'éminentes personnalités chargées par les Nations unies de se pencher sur le génocide au Rwanda. Par la suite, son nom a circulé dans les arcanes du pouvoir comme pressenti pour le poste de ministre des affaires étrangères en 1999 après l'accession d'Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême en Algérie.
Hocine Djoudi est le père de l'ex-ministre algérien des finances Karim Djoudi et de Rachid Djoudi, Conseiller du Président de l'Établissement Français du Sang.
Il est inhumé le 20 avril 2023 au cimetière de Ben Aknoun[3].
Notes et références
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